On connait l’expression « Plans are nothing, Planning is everything », attribuée – avec plus ou moins de fidélité – à Eisenhower, à Churchill puis à d’autres.

À quoi ça sert de planifier puisque de toute façon rien ne se passera comme prévu ?

Pour nous, chez Pégasus Leadership, ce « temps perdu » à planifier a au moins deux vertus :

  • Limiter autant que possible l’improvisation dans l’action. Même si l’on sait d’expérience qu’il y en aura toujours besoin. Improviser est tellement consommateur en énergie et tellement sensible au manque de lucidité que l’on recherche avant tout à s’adapter. Et s’adapter, c’est suivre une option imaginée à l’avance, donc planifiée.
  • Emmagasiner de la confiance : bien qu’une étude américaine ait conclu que « seuls 9 % des incidents/non conformités identifiés avant l’action vont réellement se réaliser », le fait de les avoir anticipés – et donc d’avoir planifié les réactions – augmente considérablement le sentiment de confiance dans la réussite de l’action à venir. Et ça, ça a énormément de valeur.

La France recrée le « Commissariat au Plan », nous aurions pour notre part préféré une « Direction de la Planification » : ce ne sont que des mots, mais ils traduisent mieux l’intention.

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